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September 2017

THE LATEST EDITION OF THE PILASKW NEWSPAPER IS NOW ONLINE!

By |September 25th, 2017|

Hi everyone,

The latest edition of the Waban-Aki Pilaskw newspaper is now available online. To take a look at it, CLICK HERE. Enjoy your reading!

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Wapikoni, Cinema on Wheels is stopping in Odanak!

By |September 11th, 2017|

Wapikoni, Cinema on Wheels is stopping in the community with its amazing, award-winning shorts directed by Indigenous youth from Eastern Canada!

Wapikoni Mobile is a travelling audiovisual and musical creation studio dedicated to Indigenous youth. Since 2004, Wapikoni has visited over 24 Nations and accompanied thousands of participants who worked to direct close to 1,000 short films translated into several languages. These films have received 150 awards and honours at national and international festivals. The Wapikoni, Cinema on Wheels tour is part of “Wapikoni From Coast to Coast: Reconciliation Through the Media Arts”, a project under the patronage of the Canadian Commission for UNESCO and supported by the Government of Canada. From April to November, a caravan equipped with exterior projection equipment and staffed by two facilitators will travel west to east, covering 10 Canadian provinces and stopping in 100 Indigenous communities and 50 cities. The screenings will be in English, French and Indigenous languages.

“One of Wapikoni’s most cherished dreams has come true: Making the voices of Indigenous youth who we have worked with for over 13 years echo throughout Canada, establishing a dialogue between communities of all origins through their films. These works are a unique part of Indigenous cultural heritage,” says Manon Barbeau, Executive Director of Wapikoni.

Trailer of the tour Wapikoni, Cinema on Wheels: https://vimeo.com/209573738

Facebook: https://www.facebook.com/wapikoni/
Twitter: https://twitter.com/wapikoni
Instagram: https://www.instagram.com/wapikonimobile/

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Élise Boucher-DeGonzague en spectacle au Musée des Abénakis (In French only)

By |September 11th, 2017|

Le Musée des Abénakis, dans le cadre de sa programmation culturelle, vous présente pour la toute première fois, le spectacle N’TOKI – Je me réveille, une création musicothéâtrale écrite et interprétée par l’auteure-compositrice- interprète abénakise Élise Boucher-DeGonzague sous la direction artistique de Sylvain Rivard, artiste multidisciplinaire et spécialiste de l’art autochtone.

N’TOKI – Je me réveille raconte, en textes et en chansons, la vie quotidienne d’une jeune abénakise sur le point de devenir mère. Une histoire qui mène l’auditeur par la main du cœur jusque dans l’atmosphère paisible de la fin du jour à l’heure où les berceuses se chantent, tout en douceur, dans les maisons longues de toutes les Nations.

Élise Boucher-DeGonzague a d’abord fait sa marque en tant que soliste dans des œuvres symphoniques contemporaines. Elle aura chanté notamment en Suisse, en Égypte et au Moyen-Orient avant de s’installer en France en 1996 où elle fera carrière pendant une quinzaine d’années. Depuis son retour définitif au Québec, l’artiste vit à proximité de la communauté d’Odanak où elle s’imprègne
avec bonheur de sa culture ancestrale paternelle. Elle est fière de participer à la vie culturelle de sa nation et chante plus que jamais son appartenance abénakise.

Vous pouvez vous procurer votre billet, au coût de 20$, au 450 568-2600. Les places sont limitées, veuillez confirmer votre place avant le 18 septembre 2017.

Un cocktail vous sera servi sur place.

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Joyce Panadis exposera au Louvre (in French only)

By |September 7th, 2017|

L’artiste abénakise Joyce Panadis exposera pour la première fois à l’international, du 7 au 10 décembre, dans le cadre du Salon national des Beaux-Arts de Paris. Elle y présentera trois œuvres dans la salle du Carrousel du Louvre.

Quand elle a commencé, en 2012, elle avait le rêve de partir, un jour, en France. Par contre, elle ne pensait pas que cette opportunité arriverait si vite en carrière. «C’est comme un cadeau! Je le vois vraiment comme un privilège», s’exclame Joyce Panadis.

L’artiste d’Odanak se réjouit d’autant plus que c’est un concours de circonstances qui l’amène à s’envoler pour l’Europe. «Un de mes amis artistes a une agente en France et il lui a montré quelques-unes de mes œuvres. En octobre dernier, l’agente m’a contactée pour me demander de lui envoyer un dossier en vue du Salon national des Beaux-Arts de Paris.»

Sur place, ils seront plus de 600 artistes de partout dans le monde, dont seulement 32 du Canada. Lors de son passage à Paris, l’artiste abénakise représentera les Premières Nations, dans le cadre du 150eanniversaire du Canada.

Joyce Panadis sera une semaine en France et sera présente, en grande partie, à l’exposition. Elle voit cette aventure comme étant très motivante et souhaite que cette expérience lui ouvre d’autres portes pour la suite de sa carrière. «Je ne me suis pas fixé d’objectif, mais j’ai bien l’intention de créer des contacts là-bas et j’aimerais aussi rencontrer des collectionneurs», soutient celle qui est originaire d’Odanak et qui y demeure toujours.

C’est d’ailleurs au Musée des Abénakis que l’artiste au graphite a présenté sa première exposition solo, «Essence d’un peuple», de juin à octobre 2016. Les œuvres exposées présentaient alors les fruits de sa réflexion identitaire.

Pour l’exposition de Paris, Joyce Panadis devait réaliser trois œuvres. Elle en est présentement à achever sa troisième toile. L’artiste a indiqué que ses trois œuvres seront liées par le thème «La sérénité». Sans vouloir en dévoiler davantage, elle assure que ses toiles sont une suite de «Essence d’un peuple». «C’était aussi évident pour moi que ces œuvres devaient avoir un lien avec les Premières Nations, puisque ce sont ses origines.»

Il faut dire que les artistes qui exposent au Salon national des Beaux-Arts de Paris n’ont pas de thématique précise à respecter. En fait, la seule restriction concerne les formats.  Les artistes doivent fournir une œuvre de 18 X 20 et deux de 12 X 12.

Expositions à venir

Cet automne, Joyce Panadis participera à deux expositions au Québec:

Rencontre Canada-Europe

Cette exposition se tiendra du 25 octobre au 5 novembre à la Galerie Le Livart, à Montréal. Une trentaine d’artistes du Québec et de l’Ontario y exposeront. Ils ont tous un point en commun, soit celui d’avoir déjà été sélectionnés, ou l’être cette année, pour exposer au Salon national des Beaux-Arts de Paris. Chaque artiste aura suffisamment d’espace pour pouvoir présenter quelques œuvres de différents formats.

De Nikitotegwasis à Lennoxville

Il s’agit d’une exposition contemporaine présentée au Centre culturel et du patrimoine Uplands, dans les Cantons-de-l’Est, pour célébrer le 150e anniversaire de la Confédération. Elle s’inscrit dans le cadre d’une foule d’activités visant à faire découvrir aux visiteurs la richesse du patrimoine, de la culture et des arts autochtones. «De Nikitotegwasis à Lennoxville» se tiendra du 5 novembre au 17 décembre. L’exposition mettra en vedette 5 artistes, dont Joyce Panadis et Christine Sioui Wawanoloath, toutes deux d’Odanak.

 

Source: http://www.lecourriersud.com/culture/2017/9/6/joyce-panadis-exposera-au-louvre.html

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August 2017

ABENAKI LANGUAGE CLASSES

By |August 31st, 2017|

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ORGANIZED TRIP- WENDAKE (in French only)

By |August 30th, 2017|

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LE PROJET W8LINAKTEKW: LA RIVIÈRE ABÉNAKISE LES FOUILLES ARCHÉOLOGIQUES SE POURSUIVENT (in French only)

By |August 9th, 2017|

Du 1 er août au début octobre 2017, au centre du village actuel de Wôlinak et dans la municipalité de Bécancour, en bordure de la rivière Bécancour, le projet de fouilles archéologiques W8linaktekw: la rivière abénakise se reconduira pour faire suite au travail de recherche effectué l’été dernier.

La campagne de 2017 permettra la vérification des hypothèses reposant sur le déplacement des villages abénakis et des missions. Les travaux permettront aussi de mieux documenter les modes de vie et l’utilisation du territoire par la Première Nation des Abénakis depuis la fin de la préhistoire jusqu’à aujourd’hui.

Les sources historiques mentionnent l’existence d’un village Abénakis et d’une mission aux abords de la rivière Bécancour. Sa découverte constituerait un précédent historique puisque la mission de Wôlinak, tout comme celle d’Odanak, a joué un rôle stratégique dans l’histoire de la Nouvelle-France. Les objectifs de ces recherches sont multiples; elles permettront d’abord de documenter plus clairement le passé des missions jésuites puis de répondre à des questions précises telles que la reconstitution de la diète alimentaire, la présence de cultigènes anciens, les échanges entre les colons et les Abénakis ainsi que le développement de la Seigneurie de Bécancour et de ses environs.

Le projet est sous la direction de Geneviève Treyvaud, Docteure en archéologie et chercheuse postdoctorale à l’Institut national de recherche (INRS-ETE) et chercheuse associée au CELAT (ULAVAL). L’équipe de fouilles archéologiques est composée d’étudiants en archéologie de l’Université Laval et d’une jeune étudiante de la Première Nation abénakise.

Le Musée des Abénakis est le promoteur du projet archéologique W8linaktekw : la rivière abénakise, qui pourrait s’échelonner sur plusieurs années si des découvertes majeures sont réalisées. Ces dernières permettront d’enrichir la collection archéologique dont dispose l’institution muséale, puis seraient exposées au public.

Ce projet de fouilles archéologique est rendu possible grâce à la participation de Patrimoine canadien, du Conseil des Abénakis de Wôlinak et du Grand Conseil de la Nation Waban-Aki. Le Musée des Abénakis est, quant à lui, subventionné par le ministère de la Culture et des Communications et le Conseil des Abénakis d’Odanak.

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L’AGRILE DU FRÊNE POURRAIT MENACER UNE PRATIQUE ABÉNAKISE ANCESTRALE (in French only)

By |August 8th, 2017|

Annette Nolet fabrique des paniers de frêne, une pratique ancestrale. Photo : Radio-Canada

Alors que l’agrile du frêne fait des ravages un peu partout au Québec, les Abénakis d’Odanak craignent la disparition des arbres qu’ils utilisent pour la fabrication de paniers, un savoir-faire transmis de génération en génération dans la communauté.

Annette Nolet fabrique des paniers de frêne depuis des années. Une méthode qui lui a été transmise par sa mère. « Pour la perpétuité de cette activité-là, c’est clair que l’approvisionnement de frênes noirs est essentiel », dit Suzie O’Bomsawin, directrice du Ndakinna, l’entité qui s’occupe de la gestion de l’environnement et de l’aménagement du territoire au Grand Conseil de la nation Waban-Aki.

Une matière irremplaçable

Le bois de frêne noir est le seul qui soit assez flexible pour être utilisé dans la fabrication de paniers traditionnels. L’agrile du frêne n’a pas encore été détecté dans le secteur de Nicolet-Yamaska, où se situe la communauté d’Odanak, mais selon l’Agence canadienne d’inspection des aliments, ça ne saurait tarder.

« Quand toutes ces zones-là vont être visées également, il va falloir trouver des alternatives, et il n’y en aura certainement pas des millions », indique le gestionnaire foncier d’Odanak, Michel Durand-Nolet.

Des paniers faits de bois de frêne noir Photo : Radio-Canada

Éviter l’abattage préventif

Les Abénakis souhaitent préserver les frênes et éviter qu’ils soient abattus, comme ce fut le cas dans plusieurs villes dans le but de limiter la propagation.

« Quand le frêne est attaqué par l’agrile, oui, on peut l’abattre, mais ce n’est pas la bonne idée d’abattre l’autre frêne à côté qui, lui, est encore sain, croit Michel Durand-Nolet. Dans la composition chimique de chaque plante, on retrouve des insecticides naturels et les arbres finissent par se défendre eux-mêmes. »

Michel Durand-Nolet souhaite que les connaissances que détient son peuple soient mises à profit dans la gestion de l’insecte ravageur.

L’Agence canadienne d’inspection des aliments invite quant à elle ceux qui croient détenir des informations utiles sur l’agrile du frêne à communiquer avec elle et à transmettre les connaissances qu’ils détiennent pour venir à bout de cet indésirable.

Avec les renseignements de Jennifer O’Bomsawin

Source: http://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1048725/agrile-frene-menace-pratique-abenakise-ancestrale-vannerie-panier 

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July 2017

L’ACTIVITÉ ARCHÉOLOGIQUE « À LA DÉCOUVERTE DU FORT D’ODANAK ! » (In French only)

By |July 18th, 2017|

Du 1er au 31 août 2017, une vague archéologique submerge l’ensemble du Québec, avec son lot de découvertes, de nouveautés et d’émerveillements! Le Mois de l’archéologie vous propose plus d’une centaine de visites, d’entretiens, de fouilles archéologiques et d’activités des plus ludiques dans des lieux archéologiques et historiques aux quatre coins de la province. À travers 15 régions du Québec, plus de 40 archéologues et spécialistes pourront partager avec vous leurs recherches et vous éclairer sur l’histoire qui dort sous nos pieds. Profitez du Mois de l’archéologie pour fouiller des sujets qui vous passionnent et déterrer les secrets de nos ancêtres!

Une véritable expérience archéologique vous est offerte, le 6 août de 10 h à 14h au Musée des Abénakis lors d’une activité qui captivera petits et grands ! L’activité « À la recherche du Fort d’Odanak » vous invite à découvrir les ficelles du métier d’archéologue en participant activement à une séance de fouilles archéologiques au cœur même du Fort d’Odanak. En compagnie de l’archéologue Geneviève Treyvaud, apprenez-en plus sur les techniques de fouilles et partez à la recherche d’artéfacts ! Sur l’heure du diner, assistez à une conférence qui présentera les résultats des dernières recherches effectuées en territoire abénakis ! Le tarif pour participer à cette journée haute en couleur, qui inclut également le diner de type boîte-lunch, est de 20 $ par personne ou de 50 $ par famille. Les places sont limitées, inscrivez-vous dès maintenant au 450 568-2600 ou par courriel au [email protected].

Afin d’en connaître davantage sur la programmation de tous les lieux participants, visitez le www.moisdelarcheo.com ou adhérez à la page Facebook du Mois de l’archéologie.

 

Le Mois de l’archéologie est une réalisation du réseau Archéo-Québec.

Information: 1-514-872-7720 ou [email protected]

Elle est rendue possible grâce à la collaboration d’un partenaire majeur, le Ministère de la Culture et des Communications du Québec.

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UPDATE – DESCHENEAUX CASE

By |July 10th, 2017|

On August 3, 2015, Madam Justice Chantal Massse of the Québec Superior Court ruled in the Descheneaux case that most of the registration rules in the Indian Act are invalid because they discriminate on the basis of sex when granting “Indian status” and therefore violate the Canadian Charter of Rights and Freedoms.

However, Justice Masse suspended the effect of her declaration of invalidity for 18 months in order to giver Parliament time to amend the Indian Act and make it compliant with the Charter.

Justice Masse’s decision did not give anyone a new right to status: instead, she ruled it was up to Parliament and not the Court to change the Indian Act. If Parliament did not act before the deadline, registration under the Indian Act would simply cease for almost everyone.

The government finally introduced its proposed amendments in the Senate in late October 2016, entitled Bill S-3, but the Senate Committee on Aboriginal Peoples asked the Minister of Indian and Northern Affairs to conduct better consultation and eliminate all sex discrimination from the registration rules.In January 2017, the government obtained an extension of its deadline to July 3rd from Justice Masse, but only presented its revised amendments to the Senate in May 2017.

The Senate decided Bill S-3 does not go far enough and on June 1st adopted amendments – referred to as “6(1)(a) all the way” – that would give the same status to all descendants of a woman who lost her status if they were born before the new rules came into effect in 1985. However, the Minister said she would oppose this change when Bill S-3 came before the House of Commons.

After the Minister’s lawyers told Justice Masse that they would not use the June 19th hearing date set aside for a motion to extend the suspension, the lawyers for Stéphane Descheneaux, Susan and Tammy Yantha and the Abenaki brought their own motion. On June 20th, Justice Masse refused to grant the extension, ruling that the court could not become involved in dispute between the House of Commons and the Senate.

On June 21st, the House of Commons adopted Bill S-3 without the “6(1)(a) all the way” amendments and sent it back to the Senate, but on June 22nd, the Government Representative in the Senate adjourned debate on Bill S-3 and both the House of Commons and the Senate adjourned for the summer.

In the last week of June the government presented its own motion and asked Justice Masse to extend the suspension of her declaration of invalidity till December 26, but Justice Masse ruled on June 27th that nothing had changed since her previous decision and denied Canada’s motion.

The government filed an appeal on the issue of extending the suspension, which will be heard in Montreal on August 9th. Until then, a safeguard order issued by Justice Nicholas Kasirer of the Québec Court of Appeal – with the consent the lawyers for Descheneaux, the Yanthas and the Abenaki – allows the Registrar to continue to apply the existing registration rules in the Indian Act.

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REDÉCOUVRIR UN HÉRITAGE TROP PEU CONNU (in French only)

By |July 10th, 2017|

Le Centre communautaire Saint-Pierre (CCPS) organise, dans le cadre du 150eanniversaire du Canada, une semaine de sensibilisation à la culture autochtone du 31 juillet au 3 août au presbytère de l’église Saint-Pierre, à Drummondville.

C’est grâce à une subvention de 23 160 $ du gouvernement du Canada que le projet a pu voir le jour. «Pendant quatre jours, les citoyens vont acquérir une grande ouverture d’esprit et de respect mutuel à la suite de ces rencontres. Ça leur permettra de découvrir l’histoire, les mœurs et la vie quotidienne des autochtones», a avoué Florence Benedicte du Conseil de bande des Abénakis d’Odanak.

La programmation comporte deux volets qui sont offerts gratuitement aux participants. Le premier, destiné aux 400 enfants qui fréquentent les camps de jour, fera découvrir l’artisanat amérindien par la fabrication de colliers, de bourses et de bâtons de parole. L’animation sera faite par le Musée des Abénakis et la boutique Le Wigwam.

Le second volet s’adresse à toute la population. À partir de 16 h tous les jours les participants pourront assister à des démonstrations de fabrication de tambours, de capteurs de rêves, de paniers et de mocassins. En soirée, dès 18 h 30, les contes et légendes amérindiennes, animés par Christine Siwi Wawanolett, feront découvrir un tout autre univers de la tradition amérindienne. De plus, tous les soirs, une cérémonie du Grand Conseil se tiendra à partir de 19 h 30. Cette cérémonie avait lieu avant les séances du Grand Conseil pour préparer le corps et l’esprit afin qu’ils puissent prendre les meilleures décisions pour la communauté. Pour clôturer cette cérémonie, il y aura une signature d’un traité de paix pour tous les peuples de la terre. Roger Robertson, représentant de la nation Micmac, animera la cérémonie.

Le 3 août, journée du 45e anniversaire du Festival de l’épi du CCSP, de 16 h à 20 h, les enfants de Drummondville pourront participer aux ateliers d’artisanat amérindien. De plus, tous les ateliers de fabrication les contes et légendes et la cérémonie du Grand Conseil seront également tenus lors de la soirée du Festival de l’épi. Les objets fabriqués dans le cadre des ateliers du soir feront l’objet d’un tirage à la fin de chacune des soirées.

«Kwaï (Bonjour en Abénakis). Le peuple Abénakis est fier et accueillant. Une trentaine d’enfants visiteront le Musée des Abénakis à Odanak afin de faire découvrir notre culture. Nous sommes heureux de participer à cette semaine de sensibilisation à la culture autochtone», a conclu Mathieu O’Bomsawin-Gauthier, directeur général du musée.

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June 2017

POT LUCK SUPPER

By |June 27th, 2017|

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